Le terminal de Contrecœur permet au Canada d’être moins dépendant des ports américains. Il favorisera l’utilisation d’acier canadien et donnera accès à plus d’un milliard de consommateurs grâce aux accords de libre-échange.
Il suffirait que 6 % des exportations canadiennes passent ailleurs qu’aux États-Unis pour que le Port de Montréal soit plein.
Sans le terminal de Contrecœur, nos entreprises devraient utiliser des ports américains, ce qui affaiblirait la chaîne logistique du pays et ferait perdre des retombées économiques ici.


